Saison 2024/2025
Racing Club de Strasbourg

[2009-2010] Guingamp - RCS | Avant-match

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Flux RSS 193 messages · 12.926 lectures · Premier message par zero-zero · Dernier message par gabede

  • Si on veut exploiter au mieux les contres attaques, on aura besoin de vitesse en attaque. Avec Othon, Brahmia, Gueye et Ledy, ça devrait le faire (+)
  • Exact, mais j'espère que l'équipe saura adapter son jeu en fonction des joueurs qui seront en pointe...
  • De toute façon on va là bas pour chercher le match nul, chercher la victoire est presque surréaliste.
  • racing67400 a écrit, le 2010-05-03 19:38:40 :
    Equipe


    Juste une petite incertitude peut-être concernant l'identité du second attaquant aux côtés de Gueye.


    Ca sera Ledy ou Marcos...
  • Marcos ? Je doute que Janin lui refasse confiance.
  • ca sera surement Ledy
  • Bin si on réfléchit un peu il semble le remplaçant parfait pour Fauvergue...
  • Tu aurais dit sa il y a 1an, pourquoi pas. Mais la je crois qu'un Ledy ou qu'un De Carvalho vaut plus qu'un Marcos.
  • Moi je me dis que ce genre de match il faut un vieux bricard comme Marcos en attaque pour corriger les erreurs de la defense
  • le stub est partagé pour les pronostics du matchs : 33 % pour chaque résultat. En gros c'est la loterie.
  • ca va etre un match serré a tres gros enjeu pour les 2 equipes .
  • Composition probable pour le RCS:

    Equipe
  • Une question de salut

    Pour son antépénultième match de la saison, le Racing est tout à l'heure à Guingamp, un concurrent direct. Une victoire pourrait lui assurer le maintien, un nul le rapprocherait du but, une défaite s'apparenterait à un désastre.

    Ils ne sont pas si nombreux, les survivants de l'énorme traumatisme dont les conséquences se font encore sentir aujourd'hui. Lacour, Cassard, Jean-Alain Fanchone, Othon, Marcos et Ledy ont porté le maillot bleu dans l'enfer de la Mosson, en mai 2009, pour la défaite de trop. Ils devraient être de la partie ce soir. Après sa défaite face à Lyon (0-1), Montpellier est déçu de ne plus être en position qualificative pour une coupe d'Europe. Le Racing, lui, tremble à l'idée de ne pas s'en sortir au Roudourou.

    « Je n'aimerais pas qu'on joue notre tête à Châteauroux »

    Mais c'est comme si les survivants avaient transmis le message de la décision récente. « Je pense qu'on va prendre des points avant, en tout cas, il ne faut pas se mettre en tête que l'on va se sauver à Châteauroux », se rassure l'entraîneur, Pascal Janin. « Je n'aimerais pas qu'on joue notre tête à Châteauroux », lui répond, comme un écho, Arnaud Maire, presqu'un porte-parole du groupe alsacien dans son ensemble. En fait, ce ne serait pas loin du gadin assuré.
    Comme souvent, ces temps-ci, le Racing est donc à la croisée des chemins, entre un abonnement pour les périples en bus-couchettes, aux six coins de la France, de Rodez à Beauvais en passant par Luzenac et Plabennec, et un express espéré vers la L1, l'ambition naturelle d'une écurie qui a participé à 56 des 71 championnats d'élite organisés dans l'Hexagone. Retripler, au 2e échelon, est douloureux. Retripler, dans la douleur, est une réalité bien amère à vivre. Descendre en National, un niveau inédit pour Strasbourg, signifierait une disparition pour longtemps.
    La menace est pourtant bel et bien là. Le grand bonheur, aussi, n'est pas loin. Mais si ça veut sourire, en gagnant pendant qu'Istres perdrait face à Tours, le Racing peut être maintenu dès ce soir et ce ne serait pas le moindre des paradoxes que de le voir préserver sa tête en déplacement. Car sur les 17 précédents voyages, la bande à Janin a été parfois pathétique, souvent malheureuse, jamais victorieuse.
    Et elle a récemment présenté son pire visage contre les plus mal lotis de la division, celui de la résignation devant l'inéluctable à venir en terre hostile quand l'hôte est mû par le souffle du désespoir. Le Racing peut continuer à espérer. Mais il ne s'agit pas de faire à Guingamp les cadeaux offerts à Istres (2-0) et à Bastia (1-0). Soucieux d'édulcorer la gravité de la situation, les Strasbourgeois soulignent que la pression pèse plus sur les épaules guingampaise.
    Elle peut contribuer au déroulement d'un scénario favorable. « Guingamp va devoir se livrer, considère encore Arnaud Maire. On a présenté des capacités morales plusieurs fois, alors que l'on était au pied du mur. » En l'absence de son meilleur buteur, voire joueur, Nicolas Fauvergue, le Racing, qui mérite bel et bien son classement au regard du médiocre foot présenté depuis août dernier, s'en remet à des valeurs quasiment extra-sportives.

    Dans le fond, le Racing dispose d'un joker

    « Il faudra faire preuve de plus d'envie, de plus d'enthousiasme et de plus de volonté d'aller de l'avant, considère Pascal Janin. Il faut les faire douter par des banderilles, ne pas vivre un match à sens unique. » Dans le fond, le Racing dispose d'un joker. Au coup d'envoi, on peut regarder son adversaire du jour droit dans les yeux, lui rappelant la succulence de quatre points d'avance.
    « Il faut profiter du fait que l'on a notre situation entre nos pieds conclut Janin, finalement conforté par le récent match nul décroché face à Nîmes (1-1). Vendredi, les joueurs ont affiché un état d'esprit et de la volonté. Après le match de Bastia, les gars ont montré qu'ils étaient capables de tourner les pages pour en écrire une qui est propre. » Ce soir, une victoire, même vilaine, correspondrait aux plus jolies lignes écrites par le Racing dans la pire saison de son histoire. Ce serait déjà ça.



    DNA
  • Il est content du match nul , bravo quelles ambitions nous avons mais il est peut être fataliste .
  • katzo68 a écrit, le 2010-05-04 05:55:03 :
    Composition probable pour le RCS:

    Equipe


    Janin a une dent contre Gueye ou quoi ?
  • En avant, Racing !

    Marcos n'avait plus été titularisé depuis le 18 septembre. Ce soir, le Brésilien sera chargé d'animer le jeu du Racing. Archives J.-M. Loos
    Vexés et agacés par leurs tristes dernières productions à l'extérieur, les Strasbourgeois veulent prendre le pari du jeu à 20 h à Guingamp. Avec l'espoir de décrocher enfin cette première victoire hors de la Meinau qui leur offrirait le maintien en Ligue 2.
    À gauche, Guingamp, lauréat de la Coupe de France 2009 et place forte du football hexagonal aux portes de la relégation en National. À droite, le Racing Strasbourg, privé de la remontée en L 1 à la dernière seconde la saison passée et pas encore assuré d'éviter dans dix jours une descente aux enfers. Autrement dit, au 3 e échelon national pour la toute première fois dans son histoire professionnelle.

    Avec un Bastia - Vannes qui pourrait tirer une épine du pied aux joueurs de Pascal Janin, le Guingamp - Strasbourg de la 36 e journée de L 2, ce soir, constituera l'une des deux confrontations directes entre candidats au maintien. Quatre points séparent les deux clubs à l'aube de ce rendez-vous plus capital encore pour les Bretons que pour les Alsaciens. Mais un 4 e échec consécutif du RCS à l'extérieur lui vaudrait de sentir le souffle d'En Avant sur sa nuque.

    À l'aller le 18 décembre, l'équipe de Pascal Janin était privée de Nicolas Fauvergue, mais n'en avait pas moins livré un match plein (2-1). Elle le sera encore tout à l'heure après la blessure de son meilleur buteur (13 buts) vendredi contre Nîmes (1-1). « C'est la seule ressemblance, car cette fois, ça va être un tout autre match », prédit le coach bas-rhinois. « L'aller nous avait permis de prendre conscience que nous étions capables de bien jouer au ballon, au sol. Le nul contre Nîmes l'a encore prouvé. Nous développons des actions très cohérentes, à une touche de balle. »

    Certes, mais presque exclusivement à la Meinau. Hors de son stade, le Racing n'a plus marqué depuis son égalisation à Vannes le 12 mars (1-1). Soit 290 minutes. Près de 5 heures. Et l'absence de Fauvergue constitue un handicap, même si la titularisation du Brésilien Marcos (voir par ailleurs) pourrait coller avec les ambitions de jeu du RCS à Roudourou.

    « Notre destin entre nos pieds »

    Après avoir à leur corps défendant relancé Istres (2-0), puis Bastia (1-0) lors de leurs deux précédentes expéditions, les Bleus n'entendent en effet pas tendre l'autre joue. « Les Guingampais et nous sommes dans la même position », estime P. Janin, « Ils ont besoin de points, nous aussi. Et je ne vois pas pourquoi ils afficheraient plus d'envie. À Bastia, j'avais demandé aux joueurs d'imaginer qu'ils étaient menés 1-0 et qu'il fallait absolument marquer. Mais la recette n'a pas fonctionné et je ne la réutiliserai pas. Les gars ont eu du mal à se glisser dans la peau d'une équipe menée au score. Je vais plutôt leur dire que ce qu'ils ont montré contre Nîmes est la ligne à suivre, qu'en jouant ainsi, nous avons plus de chances de prendre des points qu'à Furiani où nous avons surtout joué pour ne pas perdre. Il nous faut garder la relative solidité dont nous y avons fait preuve et montrer plus d'envie d'aller de l'avant, de planter des banderilles pour faire peur à nos adversaires et les mettre en danger. »

    Aussi paradoxal que cela puisse paraître, le nul contre Nîmes, s'il n'a pas consolidé la situation comptable du RCS, a (ré) conforté les Bleus. Janin aussi. « Je pensais que la défaite concédée à la dernière minute à Bastia nous mettrait un coup. Mais les gars ont montré qu'ils étaient capables de tourner la page et d'en écrire une nouvelle sans garder en tête ce qui s'était passé le match précédent. Le scénario d'un sauvetage lors de la dernière journée à Châteauroux ? Je n'y pense même pas. Nous avons la chance d'avoir notre destin entre nos pieds, sans devoir attendre les défaites des autres. Il faut en profiter. »

    On savait l'enfer pavé de bonnes intentions. Le Racing prouvera peut-être ce soir que le paradis - comprenez, le maintien - peut l'être aussi.

    Stéphane Godin
    Suspendu : Gurtner (Strasbourg).

    Absents : à Guingamp, Allaoui (coup), Argelier (reprise), Bazile (convalescence), Soumah (quadriceps), Gilmar (coup), Imbula, Samassa, Djoman, Delgado, Soly (choix de l'entraîneur) ; à Strasbourg, Fauvergue (adducteur droit), Pichot (cuisse), Bah (reprise), Gargorov (reprise), Bezzaz (rééducation), Kébé (rééducation), Correia (rééducation), Damour (orteil), Khiter, Pelé, Gasmi, Abadie, Dedola (choix de l'entraîneur).
  • Deroff: <<Gagner>>

    L'ex-défenseur latéral du RCS estime que le club breton abat pratiquement sa dernière carte face à ses ex-coéquipiers.
    C'était il y a tout juste un an : le 9 mai 2009 au Stade de France, Guingamp, qui luttait déjà pour ne pas descendre en National, créait la sensation en enlevant la Coupe de France contre Rennes (2-1). Douze mois plus tard, on l'aurait presque oublié. Comme on aurait presque oublié qu'en août, le club costarmoricain disputait le tour de barrages de l'Europa League face à Hambourg, éliminé la semaine passée en demi-finale par Fulham.

    Certes, les Allemands, vainqueurs 5-1 à Roudourou, puis 3-1 chez eux, avaient rappelé aux hommes de Victor Zvunka que le fossé entre Bundesliga et L 2 est énorme. Mais personne ne s'attendait à ce qu'en ce printemps, le club du président Noël Le Graët se débatte encore dans les eaux troubles de la zone rouge. « Nous étions partis dans l'idée d'enchaîner après notre sacre en Coupe de France », reconnaît le latéral droit Yves Deroff, l'un des deux anciens pensionnaires de la maison Racing avec Christian Bassila (1). « Nous souhaitions nous rapprocher de la première partie du classement pour coller davantage aux ambitions du club. Il n'en a rien été. »

    L'histoire de ces ambitions déçues rappelle forcément quelque chose du côté de la Meinau. 19 e avec un point de retard sur le premier non-relégable et quatre sur le RCS, En Avant présente un bilan très contrasté. Sa défense (36 buts encaissés) est la 3 e de L 2, mais son attaque (30 buts inscrits, comme Istres) est la 19 e et dernière. « Nous n'avons pas accompli un parcours aussi chaotique que cela », observe Deroff, « mais nous avons fait beaucoup trop de nuls (16 en 35 journées). »

    Une seule défaite à domicile

    A Roudourou, le capitaine Bassila et les autres n'ont ainsi perdu qu'une fois (1-2 le 26 octobre contre Le Havre) et sont invaincus depuis (8 nuls, 3 victoires). Mais ils n'y ont gagné qu'à quatre reprises et y ont concédé douze nuls. La faute, selon Y. Deroff, à de récurrents soucis offensifs. « Nous n'avons pas trouvé de solutions à des problèmes d'efficacité récurrents depuis quelques saisons. C'est notre gros péché. »

    L'entraîneur Victor Zvunka, en fin de contrat et dont le nom circule dans l'un de ses anciens clubs, Châteauroux, a même un temps senti le vent du boulet. Mais Noël Le Graët l'a maintenu. « Le président est très présent auprès des joueurs et du staff », reprend l'ex-Strasbourgeois (2002-2007). « Ici, la pression vient plus de l'intérieur que de l'extérieur. On sait tous les conséquences qu'aurait une relégation. Pour l'instant, tout est bloqué. Je suis en fin de contrat. Mais personne ne discute de sa situation avant de connaître l'avenir du club. »

    Un avenir en pointillés qu'En Avant compte assurer lors des trois derniers matches, dont deux à domicile (contre Strasbourg, à Clermont et face à Ajaccio). « Notre parcours chez nous s'est sensiblement amélioré ces derniers temps. Nous avons battu Metz et Nantes dans des duels couperets. Le salut passera par nos deux réceptions. Mais quelque part, nous abattons face au Racing notre dernière carte. Sans les trois points, ça sentira très mauvais, même si mathématiquement, tout restera possible. Il faut gagner. Nous mettrions ainsi Strasbourg dans une position plus fâcheuse. Sachant que le Racing doit se déplacer lors de la dernière journée à Châteauroux, entraîné par qui vous savez (Ndlr : Jean-Pierre Papin) et que ce dernier ne lâchera pas le morceau, ce serait une double bonne affaire pour nous. »

    S.G.
    (1) Sans parler du Strasbourgeois d'origine Alharbi El Jadeyaoui.

    L'Alsace
  • Faisons confiance à l equipe et le reste on verra à la fin du match.Sincèrement je l ai trouve motivé,je me dis qu ils peuvent surprendre à guingamp. forza forza Racing
  • Par contre je comprend pas que Janin titularise LEDY à la place de GUEYE #-o
  • Marcos aux manettes


    Comme on pouvait le supposer après la prestation de ses hommes contre Nîmes (1-1), plus probante dans le jeu que sur le plan comptable, Pascal Janin n'a apporté que très peu de retouches à son groupe de seize. Deux exactement. Nicolas Fauvergue, out jusqu'à la fin de la saison pour une blessure à l'adducteur droit, et Seïd Khiter sont remplacés par Marcos et Simon Zenke.

    Le Brésilien sera même titularisé en soutien de David Ledy, appelé à évoluer en pointe à la place de Fauvergue. C'est sa première apparition dans le onze de départ depuis le 18 septembre et une large défaite à Clermont (3-0). Récemment revenu dans le groupe sur suggestion du président Jean-Claude Plessis et entré en jeu contre Dijon et à Bastia, le Sud-Américain, sous contrat pour deux ans encore, peut marquer des points. « Je vais effectivement aligner Marcos derrière David Ledy, en espérant qu'il se positionne suffisamment haut », explique le coach. « En début de saison, je lui ai souvent reproché de descendre chercher le ballon trop bas. Avec Rodrigo et Baning, nous avons des joueurs pour le distribuer. Malgré tout ce qui s'est passé pour lui (Ndlr : Marcos a failli rejoindre Ajaccio en janvier, avant de partir à l'essai en Chine le mois suivant) , il a gardé un esprit sain. Il a toujours bossé et n'a jamais rien revendiqué, même si, comme titulaire la saison passée, il aurait pu le faire. Je récompense son état d'esprit, compte tenu aussi du fait que l'équipe a besoin de quelqu'un qui sache garder le ballon. C'est ce qui nous a manqué lors de nos derniers déplacements. »

    Côté guingampais, deux changements également : Moustapha Diallo, absent depuis deux matches pour une blessure aux côtes, devrait être titularisé à la place de Fabrice Colleau, alors que Mathieu Scarpelli, remis de sa contracture à la cuisse droite, s'installe sur le banc à la place du jeune Mouhamed Soly, auteur de ses débuts en L 2 vendredi à Sedan.

    L'Alsace
  • Ca pue la vieille branlée :|s
  • Ledy et Marcos devant :|s :|s :|s
  • Gueye est blessé/malade/suspendu ??? :-/
  • choix de Janin :-s
  • Place à l'audace ?


    Après avoir constaté à la vidéo leur absence d'esprit d'entreprise l'autre vendredi à Bastia, les Bleus promettent de prendre des initiatives en soirée à Roudourou .

    C'était mardi dernier. Les Bleus et leur staff ont décortiqué la vidéo de leur échec de la dernière minute à Bastia (1-0). Les uns et les autres ont ensuite exprimé leur ressenti et tous ont convergé vers un constat unanime : malgré les recommandations de Pascal Janin dans sa causerie d'avant-match (voir ci-dessus), Guillaume Lacour et ses coéquipiers ont joué en Corse « avec le frein à main », comme le regrette le milieu brésilien Rodrigo. Aussi, à trois journées de la fin et alors qu'ils n'ont toujours pas gagné hors de la Meinau, semblent-ils disposés à frapper leur voyage à Guingamp du sceau de l'audace. « Après avoir revu les images de Bastia, nous nous sommes dit que nous n'avions rien de plus à perdre à l'extérieur. Nous y fermons souvent le jeu, mais y sommes incapables de tenir un résultat. A Istres, nous avons livré un match dégueulasse (sic). A Bastia, nous avons été inoffensifs », pointe Jean-Alain Fanchone. « Alors, autant jouer. C'est dans cet esprit que nous allons à Guingamp. A la Meinau, nous parvenons à développer notre jeu. Pourquoi pas en déplacement ? Nous voulons presser les Guingampais pour leur montrer que nous sommes là. Ça ne signifie pas qu'il faut se découvrir inconsidérément. » La fameuse séance vidéo aurait-elle servi de détonateur et de thérapie de groupe ? Possible . « Si nous voulons prendre des points à l'extérieur, il faut aussi prendre des risques, même si à ce moment crucial de la saison, Guingamp n'est peut-être pas le lieu idéal pour le faire », juge Rodrigo. « Il faudra jouer, sans partir à l'abordage. Le coach ne nous freine pas, mais jusqu'ici, comme à Bastia, nous n'avons pas su appliquer ce qu'il nous demande. Nous n'en avons pas vraiment l'explication. » Peut-être des niveaux de forme et de rendement trop disparates. De ce point de vue, le nul contre Nîmes a mis en lumière une certaine unité, à l'image d'un JAF redevenu incisif. Si les onze paires de jambes strasbourgeoises savent se montrer synchrones ce soir, il leur sera plus facile de lâcher le frein à main.

    S.G.

    L'Alsace
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